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Ce que je sais de toi (Eric CHACOUR)

note: 4Le roman que l'on a tous rêvé de lire ! veronique - 8 novembre 2023

Un livre qui époustoufle par la beauté lumineuse de son style
Nous avons tous été touchés par le parcours de cet homme insatisfait, bousculé par une rencontre qui allait changer sa vie. Fascinés par le portrait d'une Egypte sensuelle, tendre, violente, impitoyable . Tout sonne juste dans ce livre universel !" - Gérard Collard
https://lagriffenoire.com/ce-que-je-sais-de-toi.html

La ville sans vent n° 1 (Eléonore DEVILLEPOIX)

note: 4LA VILLE SANS VENT Catherine - 12 mai 2021

Deux romans qui nous emmènent dans une cité état avec deux personnages très attachants un mage et sa disciple. Plein de rebondissements, d'épreuves, de surprises.Un peu de magie.Un très bon moment de lecture

Sauveur & Fils n° 1
Sauveur & fils (Marie-Aude Murail)

note: 4Addictif ! veronique - 6 août 2020

La vie farfelue d'un psy pour enfants orléanais.
Entre ses jeunes patients et sa vie de famille, on devient vite addict de cette série !
Pour ados et adultes

Entre deux mondes (Olivier Norek)

note: 4Entre deux mondes )Olivier Norek) Frédérique-Bibliothécaire - 19 octobre 2018

L'un de mes gros coups de cœur 2018!
Un roman policier éprouvant et réaliste, mais juste et maîtrisé. Des personnages réussis sans en faire des tonnes; le style concis de Norek dit beaucoup sans tomber dans le gore ou la surenchère (la réalité des faits suffit).
Le sujet, délicat, est en même temps d'actualité.
Une réussite!

Une longue impatience (Gaëlle Josse)

note: 4L'attente d'une mère veronique - 20 février 2018

La douleur d'une mère après le départ de son fils.
La Bretagne, la vie de marin, racontés par la très belle écriture de Gaëlle Josse

AccueilCarlo Maria GIULINI

Carlo Maria GIULINI

 
Carlo Maria GIULINI. Source: Wikipedia

Carlo Maria Giulini, né à Barletta le , et mort à Brescia le , est un chef d'orchestre italien.

Biographie

En 1917, la famille Giulini s'installe à Bolzano (Dolomites), tandis que Carlo-Maria commence à travailler le violon.

Au début de la Seconde Guerre mondiale, il est envoyé sur le front croate. Il déserte, puis revient à Rome, où en 1942 il épouse Marcella Girolami. Ils auront trois garçons. Il décède à l'hôpital de Brescia le . Il est inhumé auprès de sa femme, décédée en 1995, au cimetière de Bolzano.

Art lyrique

À partir de 1930, il étudie à l'Académie Sainte-Cécile à Rome : alto, composition. En 1934, il rentre comme altiste dans l'Orchestre de l'Augusteo. Les grands chefs invités (Richard Strauss, Igor Stravinsky, Wilhelm Furtwängler, Bruno Walter, Pierre Monteux, Erich Kleiber, Victor de Sabata, Otto Klemperer, Willem Mengelberg…) l'incitent à s'orienter vers la direction d'orchestre (Molinari, Casella). À la libération de Rome (1944), il donne son premier concert, puis est nommé (1946) directeur musical de la RAI de Rome. En 1950, il fonde l'Orchestre de la RAI de Milan. Remarqué par Toscanini, puis par De Sabata, il devient chef attitré de la Scala de Milan (1953-1956). En 1955, la série de représentations de La Traviata de Giuseppe Verdi avec Maria Callas, dans une mise en scène de Luchino Visconti, est devenue mythique. Parallèlement, Giulini fait ses débuts dans les grands festivals (Aix-en-Provence, Édimbourg, Mai musical de Florence, etc.) et commence une carrière internationale en Angleterre et aux États-Unis. En 1968, il décide d'abandonner les représentations lyriques compte tenu des mauvaises conditions de préparation. Il n'y reviendra qu'en 1982 pour un éblouissant Falstaff à Los Angeles.

Musique symphonique

Giulini s'oriente alors vers une carrière de chef symphonique : premier chef invité à l'Orchestre symphonique de Chicago (1969-1978), directeur musical de l'Orchestre symphonique de Vienne (1973-1976), puis directeur de l'Orchestre philharmonique de Los Angeles (1978-1984). Il consacre la fin de sa carrière à la tête des plus grandes phalanges européennes à Berlin, Paris, Vienne, Amsterdam, Munich…

Enregistrements

Pris en charge dès 1952 par le grand directeur artistique de Columbia EMI, Walter Legge, Giulini a enregistré un grand nombre de disques notamment à la tête de l'Orchestre Philharmonia. Sa carrière, d'abord consacrée aux grandes œuvres lyriques de Verdi (Falstaff, Don Carlo…), Rossini, Mozart (Don Giovanni, Les Noces de Figaro), s'est orientée progressivement vers les ouvrages essentiels du répertoire symphonique et sacré (Bach, Mozart, Beethoven, Brahms, Berlioz, Tchaïkovski, Dvorak, Bruckner, Saint-Saëns, Mahler, Debussy, Ravel…). L'élégance de son style, l'engagement et l'élévation spirituelle de ses interprétations ont suscité une reconnaissance quasi unanime des critiques comme des mélomanes dans le monde entier.

Bibliographie

  • Jean-Yves Bras, Carlo Maria Giulini, Paris, Bleu nuit, , 192 p. (ISBN 2-913575-81-1)
  • (it) Alessandro Zignani, Carlo Maria Giulini : una demonica umilta, Varèse, Zecchini, (ISBN 978-88-87203-77-6)

Liens externes

  • Discographie complète : Discographie complète

  • Ressources relatives à la musique :
    • AllMusic
    • Bayerisches Musiker-Lexikon Online
    • Discogs
    • Grove Music Online
    • MusicBrainz
    • Muziekweb
  • Ressource relative au spectacle :
    • Archives suisses des arts de la scène
  • Ressource relative à plusieurs domaines :
    • Radio France
  • Ressource relative à la recherche :
    • Isidore
  • Ressource relative à l'audiovisuel :
    • IMDb

Notes et références

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Source : Article Carlo Maria GIULINI de Wikipédia

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